• Anna Gavalda, 35 kilos d'espoir
    96 pages

    Résumé :
    Grégoire déteste l'école, si fort qu'en sixième il a déjà redoublé deux fois. Le seul endroit qu'il aime, son refuge, c'est le cabanon de son grand-père Léon, avec qui il passe des heures à bricoler.
    Quand Grégoire est renvoyé du collège, pourtant, Léon est furieux. Il renonce à consoler son petit-fils et lui refuse sa protection. Il est temps, peut-être, que Grégoire accepte de grandir...


    Critique :
    Je me rappelais l'avoir lu étant petite et l'avoir adoré. J'avais pris un gros fou rire en lisant ce livre et à la fin j'avais même versé une petite larme. Et là, qu'est que je vois dans le rayon de la bibliothèque, 35 kilos d'espoir ... Dès que je suis rentrée je l'ai commencé et en une heure c'était fini. J'ai moins aimé que la première fois, surement parce que j'ai grandi, mais c'est vraiment une belle histoire de vie. J'adore le personnage, sa force et sa faiblesse à la fois. Tout ce qu'Anna Gavalda y raconte est tellement vrai. Je vous le conseille vraiment.


    La phrase de la fin :
    "Et là, j'ai souri."

    B.

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  • Michel Tournier, Vendredi ou la vie sauvage
    210 pages

    Résumé :
    Un jour de septembre 1759, Robinson, seul survivant du naufrage de La Virginie, échoue sur l'île de Speranza et s'en déclare gouverneur. Aussi, quand il rencontre l'Indien Vendredi, le tient-il naturellement pour son esclave. Mais, finalement, les rôles s'inversent : Robinson a beaucoup à apprendre de Vendredi...


    Critique :
    Je ne me rappelais plus qu'il se lisait aussi vite. L'histoire va même trop vite par moment je trouve. J'aurais préféré plus de détails. Mais dans l'ensemble j'ai beaucoup aimé, mis à part la fin où je comprends pas du tout la décision de Robinson. Je pense que la version originale de Daniel Defoe doit être mieux ; je compte la lire. Enfin je vous conseil ce petit bouquin.


    La phrase de la fin :
    "Et pour moi tu seras pour toujours l'enfant du dimanche."

    B.

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  • Ray Bradbury, Fahrenheit 451
    215 pages

    Résumé :
    451 degrés Fahrenheit représentent la température à laquelle un livre s'enflamme et se consume. Dans cette société future où la lecture, source de questionnement et de réflexion, est considérée comme un acte antisocial, un corps spécial de pompiers est chargé de brûler tous les livres dont la détention est interdite pour le bien collectif. Montag, le pompier pyromane, se met pourtant à rêver d'un monde différent, qui ne bannirait pas la littérature et l'imaginaire au profit d'un bonheur immédiatement consommable. Il devient dès lors un dangereux criminel, impitoyablement pourchassé par une société qui désavoue son passé.


    Critique :
    Depuis le temps que je veux le lire celui-là ! Enfin j'y suis arrivée. Mais finalement j'ai été plutôt déçu. J'ai eu du mal à accrocher au début. Ma lecture n'était pas fluide. J'ai quand même bien aimé sur la fin. L'idée d'un monde rejetant la culture est assez spéciale. Je le conseillerais pas spécialement.


    La phrase de la fin :
    "Quand nous atteindrons la ville."


    Merci à bibliotheque-d-aurore pour ce livre.
    B.

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  • Evelyne Brisous -Pellen, Le crâne percé d'un trou
    204 pages

    Résumé :
    La bourse vide, Garin se rend au Mont-Saint-Michel dans l'espoir de trouver du travail comme scribe. Le lendemain de son arrivée, une relique, le précieux crâne de saint Aubert, est dérobée. Le monastère est sens dessus dessous... Sans compter que frère Robert n'est jamais là où il faut et qu'il a égaré des documents qui vont se révéler fort importants. Le vieux moine disparaît et quand on le retrouve, stupeur ! Est-il possible que le crâne de saint Aubert se soit vengé de si terrible façon ?


    Critique :
    Encore un p'tit bijou de lecture. Comme toute la série : j'adore. Rien à dire de plus que "foncez les lire" !


    La phrase de la fin :
    "Et il la laissa tomber dans son sac."
     
    B.

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  • Voltaire, Candide
    254 pages

    Résumé :
    Candide vivait paisible et innocent chez le baron de Thunder-ten-tronckh, en Westphalie. Dans son château, le précepteur Pangloss, représentation de Gottfried Leibniz, professait un optimisme béat. Candide partageait cette plénitude d'autant plus qu'il était amoureux de Cunégonde, fille du baron. Un jour, ce même baron surprend leurs amours et chasse Candide à coups de pied "dans le derrière". Son existence ne sera plus qu'une suite de malheurs.


    Critique :
    J'ai pas vraiment accroché, dommage pour un classique. C'est peut-être le genre de l'utopie qui m'a déplu plus que l'écriture. Bon c'est sûr que si on creuse derrière il y a pas mal de choses à en tirer.
    En fait j'ai eu du mal avec l'histoire : les personnages meurent mais réapparaissent. Je ne regrette quand même pas de l'avoir lu parce que j'estime qu'il faut l'avoir lu mais ce n'est pas un bouquin que je relirais avec plaisir.


    La phrase de la fin :
    "- Cela est bien dit, répondit Candide, mais il faut cultiver notre jardin."

    B.

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