• Thierry Coppée, La classe qui rit

    32 pages

    Résumé :
    lls sont tous de retour ! L'instit', la prof de gym, les copains et la famille au grand complet pour une nouvelle année scolaire aux côtés de l'incorrigible Toto. Des nouveaux arrivent aussi : vous ferez la connaissance de l'oncle de Béthune et de l'inspecteur des écoles. L'emploi du temps sera riche en gags, surtout en cette période de fêtes... Eh oui, Toto prépare activement Noël !


    Critique :
    J'étais une fan des blagues de Toto quand j'étais petite, alors lorsque j'ai vu cette BD ça m'a donné envie de m'y replonger ! Les dessins sont très jolis. Cela fait toujours plaisir quand c'est agréable à regarder. Mais malheureusement le gags ne suivent pas vraiment... A part quelques uns qui ont eu le mérite de me faire sourire, les autres restent assez fades et sont vite oubliés. Je suis un peu déçue. Peut-être que les premiers tomes sont meilleurs ?
    Je vous laisse une planche que j'ai bien aimé pour vous donner un aperçu !
    Les prochaines bandes dessinées que je compte lire ne seront pas comiques. J'ai décidé de changer un peu, voir si un genre plus sombre me plairait plus !

     

    Thierry Coppée, La classe qui rit

    B.


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  • Tatina de Rosnay, Elle s'appelait Sarah

    356 pages

    Résumé :
    Paris, mai 2002. Julia Jarmond, journaliste pour un magazine américain, est chargée de couvrir la commémoration de la rafle du Vel’ d’Hiv. Au cours de ses recherches, elle est confrontée au silence et à la honte qui entourent le sujet. Au fil des témoignages, elle découvre, avec horreur, le calvaire des familles juives raflées, et en particulier celui de Sarah. Contre l’avis des siens, Julia décide d’enquêter sur le destin de la fillette et de son frère. Soixante ans après, cela lui coûtera ce qu’elle a de plus cher.
    Paris, le 16 juillet 1942 : la rafle du Vel’ d’Hiv’. La police française fait irruption dans un appartement du Marais. Le petit Michel, paniqué, se cache dans un placard, et sa grande sœur Sarah, dix ans, l’enferme et emporte la clef en lui promettant de revenir. Mais elle est arrêtée et emmenée avec ses parents...


    Critique :
    C'est une auteur dont on entend énormément parler, notamment avec ce roman. Je me devais donc de tenter sa plume et je la trouve merveilleuse. Je le dis souvent mais j'ai du mal avec tout les écrits qui touchent la seconde Guerre Mondiale. Je trouve toujours ça tellement triste et macabre que je n'ai jamais envie d'ouvrir les livres. Ce fut pas du tout le cas pour Elle s'appelait Sarah. Je crois que c'est grâce à l'approche de l'histoire par cette femme, Julia, à qui l'on peut s'identifier complétement. Elle vit à notre époque, n'est qu'indirectement touché par cette tragédie mais elle se sent concernée.
    C'est pas un livre très amusant, ou même drôle. On reste dans un ton sombre tout le long du récit. Cependant Julia n'est pas un personnage pessimiste ou qui s'apitoie sur son sort. Elle est courageuse et on ne peut que l'admirer. Elle affronte son mari pour son enfant, et le silence des gens pour la mémoire des juifs. Sa fille est également un personnage plein d'entrain et de bonté. Elles forment une super paire.
    Sarah aussi est un bel exemple de courage, même s'il faut avancer dans le roman pour s'en rendre vraiment compte. Son histoire, sa vie sont tellement tristes...
    L'histoire se découpe en deux parties, d'un part le récit de la vie de Sarah et d'autre part celui de Julia. Les chapitres se succèdent en mettant en parallèle ces deux existences, jusqu'au moment où elles se rejoignent.
    C'est un livre qui reste très dynamique puis ce qu'il reste toujours le mystère de ce qui va arriver à Sarah. On ne s'ennuie donc pas, voire on reste étonné jusqu'aux dernières pages !

    La phrase de la fin :
    "Des yeux d’où les larmes avaient disparu."

    B.


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  • Guido Van Genechten, Pourquoi ? Parce que je t'aime

     32 pages

    Résumé :
    Petit Ours blanc sait déjà beaucoup de choses, mais il est encore très jeune et a besoin de sa maman. Le petit lecteur découvre la vie de cette petite boule de poils avec les yeux, mais aussi avec les doigts : Petit Ours blanc est tout doux au toucher. Avec cet album, la banquise s’adoucit.


    Critique :
    C'est un album adorable. Le petit ours blanc est fait en une matière toute douce au toucher, un côté très ludique pour les enfants. L'histoire est également intéressante avec les interrogations du fils à sa mère, sur la banquise et les ours. Les dessins sont très mignons, très purs. Le titre est sympathique et l'auteur est également l'illustrateur.
    C'est donc un livre agréable à lire, à regarder et à toucher !

    Approuvé par les enfants !

    B.


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  • Jean-Paul Piriou, La comptabilité nationale

    124 pages

    Résumé :
    Les débats économiques et politiques se réduisent trop souvent à des batailles de chiffres. Ce "fétichisme" du quantitatif s'accompagne en général d'une méconnaissance des définitions des grandeurs en cause et de l'imprécision de leurs évolutions. Ce livre devrait permettre à chacun de ne plus être le spectateur impuissant de ces polémiques pseudo-scientifiques. En effet, cet ouvrage, destiné à un large public, explique précisément comment sont construits et évalués les comptes de la nation, à quoi ils servent et quelles sont leurs limites. Plus que d'une simple vulgarisation, il s'agit d'une véritable initiation à la logique économique et comptable. Avec plus de 60000 exemplaires vendus, ce livre est devenu l'ouvrage d'initiation à la comptabilité nationale le plus diffusé en France.


    Critique :
    Je vous présente aujourd'hui un livre un peu différent : un manuel sur la comptabilité nationale ! Il est très bien expliqué, même si les notions ne sont pas évidentes à comprendre. Une petite centaine de pages pour tenter de voir plus clair dans notre système économique. Je trouve qu'avec l'actualité du moment, ça peut être intéressant de lire ce genre de livre. Il existe une version plus récente, la 15e, si je ne dis pas de bétises.
    Il présente bien les choses avec des schémas, des tableaux et des exemples. Il m'a bien aidé !
    Je ne vais pas trop m'étendre sur ce petit bouquin qui vise un public assez restreint, mais si le sujet vous intéresse, il convient parfaitement !

    B.


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  • Donato Carrisi, Le chuchoteur

    438 pages

    Résumé :
    Cinq petites filles ont disparu.
    Cinq petites fosses ont été creusées dans la clairière.
    Au fond de chacune, un petit bras, le gauche.
    Depuis qu’ils enquêtent sur les rapts des fillettes, le criminologue Goran Gavila et son équipe d’agents spéciaux ont l’impression d’être manipulés. Chaque découverte macabre, chaque indice les mènent à des assassins différents. La découverte d’un sixième bras, dans la clairière, appartenant à une victime inconnue, les convainc d’appeler en renfort Mila Vasquez, spécialiste des affaires d’enlèvement. Dans le huis clos d’un appartement spartiate converti en QG, Gavila et ses agents vont échafauder une théorie à laquelle nul ne veut croire : tous les meurtres sont liés, le vrai coupable est ailleurs.
    Quand on tue des enfants, Dieu se tait, et le diable murmure…


    Critique :
    J'en reste bouche bée devant tant d'ingéniosité ! Carrisi a réussit à faire durer le suspens jusqu'à la dernière phrase. Je n'ai rien vu venir. Bravo ! Il mérite son prix littéraire. Chaque élément est lié à un autre, et l'auteur nous force à suivre un chemin qu'il a tracé. Il nous donne une réponse après l'autre, sans pour autant qu'on puisse imaginer une seconde ce qui va se passer ensuite. Il faut absolument le lire !
    Les personnages sont super bien construits. Je ne m'y suis pas spécialement attachée, car avec ce type de roman il faut toujours se méfier des apparences, mais ils sont pour autant intéressant à suivre pour essayer de comprendre leur passé, leurs doutes, de les décrypter en somme.
    Si ce roman devait être adapté au cinéma, je pense que certaines scènes seraient assez difficiles à regarder. C'est l'avantage de la lecture : on ne peut jamais dépasser les limites de notre imagination et de ce que l'on a déjà vu ou vécu. Le plus souvent les scènes de crime de livre on se les représente grâce à des films qu'on a visionné. Cependant Le chuchoteur reste quand même parfois monstrueux et immonde à travers ses meurtriers et leurs crimes. Donc à lire, oui, mais pas à tout âge peut-être.
    J'ai du mal à écrire un avis clair parce que je suis vraiment restée sans vois en refermant ce bouquin. Je ne sais toujours pas qu'en penser, et ça fait pourtant quelques temps que j'ai finis le livre. Tout ce dont je suis sûre c'est que on a affaire à une sacrée trame psychologique !


    La phrase de la fin :
    "Revenu, pour disparaître à nouveau dans les vastes étendues de l'ombre."

    B.


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