• Frédéric Verger, Arden

    Frédéric Verger, Arden

    480 pages

    Résumé :
    L'’histoire se déroule pendant la Seconde Guerre mondiale en Marsovie, riche principauté d’'Europe centrale. Alexandre de Rocoule, gérant du luxueux hôtel d'’Arden, homme à femmes dont la gaieté a quelque chose de féroce, et Salomon Lengyel, veuf sérieux et solitaire, sont liés par une passion commune : l’'opérette. Depuis 1917, ils ont écrit ensemble une quantité impressionnante de pièces en trois actes, inachevées car ils ne sont jamais d'’accord sur la scène finale.
    Pendant qu'’ils travaillent sans relâche, la bête nazie rôde autour de la Marsovie sur laquelle elle ne va pas tarder à poser la patte. Les persécutions de Juifs commencent. Le danger devient pressant pour Salomon et pour sa fille Esther, revenue auprès de son père et dont Alex tombe amoureux. Et si la composition d’une dernière opérette était le seul moyen de leur sauver la vie?
    Il est rare de voir aussi harmonieusement mêlés dans un premier roman l'’intelligence, l'’humour et la sensualité. Les scènes se déploient dans une profusion d’'images éblouissantes, de détails comiques ou touchants, tandis que les rebondissements ne manquent pas dans le livret sanglant qui se joue en 1944 en Europe centrale.


    Critique :
    Cette lecture a duré une éternité... J'ai dû m'y remettre à trois fois pour enfin réussir à commencer pour de bon ce roman. Pas de chapitre, peu de dialogues, de rares sauts de ligne, ce pavé de 480 pages n'est pas agréable à lire. La mise en forme est vraiment mal faite. On ne peut pas souffler dans cette lecture, tout est lourd !

    Pourtant c'est un bon récit. On suit l'histoire d'une famille, dont certains membres sont juifs, durant la seconde Guerre Mondiale. Il est difficile de se repérer dans les personnages. Ils sont nombreux et je n'ai pas saisi la moitié des liens qui les unissent. Par exemple, le narrateur, je n'ai jamais réussi à comprendre qui c'était... Les passages décrivant les opérettes sont interminables. Ils n'apportent rien au récit et ne font que le complexifier. Arg !
    Seule la fin réussit à redonner de la couleur parce qu'elle est vivante. Dommage que ce ne soit qu'à la 300ème page que l'histoire commence réellement !

    Le résumé paraît simple mais l'histoire en elle-même est d'une complexité inextricable. Du coup ce roman m'a plus ennuyée qu'autre chose... Je ne le relirai certainement pas !

    B.


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