• Renaud Ehrengardt, Chroniques de la fin d'un monde

    Renaud Ehrengardt, Chroniques de la fin d'un monde

    167 pages

    Résumé :
    Le premier roman post-apocalyptique de Renaud Ehrengardt se focalise sur l’aspect humain et psychologique d’un tel évènement. Au travers de trois journaux intimes, nous découvrons de l’intérieur une vision glaçante et cauchemardesque de l’extinction incompréhensible de la vie sur notre planète. Le pourquoi du comment restera un mystère jusqu’à la fin, pour le moins surprenante. Les amateurs de science-fiction sensible et intelligente, qui ne se cantonne pas aux clichés du genre dans la lignée de Bradbury, K.Dick ou encore Silverberg ne seront pas déçus et les méfiants vis-à-vis de la science-fiction se laisseront convaincre par le message résolument humain du livre, la trace (ici écrite) que l’on laisse en ce monde.


    Critique :
    J'ai un coup de coeur pour ce roman ! J'ai même envie de dire que pour l'instant j'ai un coup de coeur pour les éditions House made of Dawn puisque j'ai adoré l'ensemble des romans qu'ils m'ont envoyé. Je serai passée à côté de quelque chose s'ils ne m'avaient pas contacté.

    On suit trois personnages dans un monde apocalyptique à travers leurs journaux personnels. L'auteur les a choisi de façon à ce qu'ils aient des visions totalement différentes sur ce qui ce passe : un militaire, un enfant et une jeune femme. C'est le gros point fort du roman. Les points de vu se complètent. Les personnages, eux, sont courageux, fragiles et attachants. Pas de fausse note !
    Le décor est posé rapidement et on arrive facilement à se l'imaginer. L'auteur n'entre pas dans les détails et pourtant j'imaginais précisements les lieux.
    La plume d'Ehrengardt est efficace. J'ai été happé dans son histoire ! C'est vraiment un style agréable à lire.

    Mais là où ce livre passe d'une bonne histoire à un coup de coeur c'est à la fin. Juste parfaite. Je n'ose pas trop m'expliquer de peur de la dévoiler... Je peux juste vous dire que c'est une fin comme je les adore, c'est-à-dire qui pousse à se questionner.

    B.


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