• Beaumarchais, La Mère coupable
    436 pages

    Résumé :
    Figaro et sa femme Suzanne sont toujours au service du Comte Almaviva et de son épouse, mais la famille a déménagé en France. Le comte veut y dénaturer ses biens. Monsieur Bégearss, un Irlandais, s'est introduit dans la famille. Figaro et Suzanne le soupçonnent de vouloir trahir toute la famille.


    Critique :
    On passe de la comédie au drame avec cette suite du Barbier de Séville et du Mariage de Figaro. On revient à une intrigue plus simple. Encore une fois on espère que Figaro va réussir son tour et sauver le Comte. On est pas spécialement obligé d'avoir lu les pièces précédentes pour comprendre et apprécier l'histoire, puisque là encore les personnages ont changé. Un p'tit moment sympa à passer mais c'est pas la meilleure des pièces de Beaumarchais.


    La phrase de la fin :
    "Chacun a bien fait son devoir ; ne plaignons point quelques moments de trouble : on gagne assez dans les familles quand on en expulse un méchant."

    B.

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  • Beaumarchais, Le Mariage de Figaro
    320 pages

    Résumé :
    Figaro, entré au service du comte Almaviva, doit être fiancé à Suzanne, première camériste de la comtesse. Mais le comte, qui commence à s'ennuyer de sa femme, est à la recherche d'aventures galantes. Attiré par Suzanne, il envisage de restaurer le droit de cuissage du seigneur, qui lui permet de goûter aux charmes de toute jeune mariée avant que le mari ait pu en profiter.


    Critique :
    Les relations des personnages ont changé. Cette pièce est beaucoup plus compliqué que sa précédente : Le Barbier de Séville. J'ai eu parfois du mal à suivre l'intrigue. Par contre j'aime toujours autant les personnages. Cette pièce est aussi plus comique. On peut même rire à certains passages, si on arrive à suivre bien entendu. C'est quand même un classique donc c'est mieux de savoir au moins de quoi ça parle.


    La phrase de la fin :
    "Tout fini-it par des chansons."

    B.

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  • Beaumarchais, Le Barbier de Séville
    192 pages

    Résumé :
    Le comte Almaviva est éperdument amoureux de Rosine, future femme d'un vieux docteur, Bartholo. Le comte suit les futurs époux jusqu'à Séville où il retrouve son ancien valet Figaro. Celui-ci est désormais barbier dans la maison du docteur .
    Les deux compères essayeront d'unir le comte à la belle Rosine malgrès toutes les précautions prises par Bartholo.


    Critique :
    Première fois que je trouve une pièce de théâtre aussi simple à lire. C'est vraiment agréable. La pièce est comique même si on se roule pas par terre. J'aime bien les personnages, surtout Figaro. Vraiment j'ai été surprise par cette pièce. Je regrette pas de l'avoir lu.


    La phrase de la fin :
    "Mais soyons vrais, docteur : quand la jeunesse et l'amour sont d'accord pour tromper un vieillard, tout ce qu'il fait pour l'empêcher peut bien s'appeler à bon droit La Précaution inutile."

    B.

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  • Marc Levy, Et si c'était vrai...
    256 pages

    Résumé :
    Lauren, une jeune femme dans le coma, installe son double dans le placard de la salle de bain de son ancien appartement. Arthur qui vient d'y aménager la découvre un soir en prenant son bain. Bien sûr, une belle histoire d'amour naît entre la belle invisible et le jeune architecte que ses amis commencent à prendre pour un fou... Forcément, il parle tout seul. Mais, à l'hôpital, les méchants médecins laissent planer la menace de l'euthanasie. Une course contre la montre commence. Une histoire incroyable... qui pourrait bien être vraie.


    Critique :
    Ce livre est magique. On m'avait dit "Lis le ! Lis le vite ! Il est génial !" Je confirme. Quelle belle histoire d'amour ! J'adore tout les personnages. Ils ont l'air tellement vivants et aimants. Ce bouquin est un petit bijou de lecture. Là, maintenant, juste après avoir tourné la dernière page, je me demande encore "Et si c'était vrai..."


    La phrase de la fin :
    "Pourquoi êtes-vous là tous les jours ?"

    B.

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