Résumé :
Et voilà Frankie, sa soeur aînée Constance et leur père installés à Seattle, U.S.A. Frankie est plutôt pour: à Seattle, il y a une superécole d'aviation, c'est au bord de la mer et, en Amérique, il est connu qu'on peut être mal élevée et garçon manqué en toute tranquilité. Constance, elle, pleure et s'angoisse. A seize ans, c'est une vraie femme, avec courses dans les magasins, meilleures copines et recherche du grand amour. Enfin, surtout en paroles, parce que, comme dit Frankie, Constance parle beaucoup et agit peu. Du moins, était-ce comme cela en France. En Amérique, tout bascule. Constance se met à avoir une activité étonnante et, pour tout dire, dangereuse. Elle tombe amoureuse d'un drôle de type, Linwood Forrester, yeux bleus, dents blanches, un garçon qui pense que les Indiens sont mieux dans les réserves, les Noirs en Afrique et les Chicanos au Mexique. Et Linwood n'est pas seul, il a toute une bande. Frankie s'inquiète, mais que faire? Ne vaut-il pas mieux que chacun vive sa vie, même si elle ne plaît pas à l'autre? Frankie se concentre sur son désir de devenir pilote. Jusqu'à ce que s'annonce ce fameux week-end...


Critique :
Après Un phare dans le ciel que j'ai trouvé super poignant, je suis franchement déçue. Je m'attendais à mieux de la part de Moka dont je n'entends que de bonnes critiques. Le sujet principal est le racisme mais je le trouve mal traité. Les personnages ne sont pas du tout crédibles à mon goût. L'histoire ne donne pas envie de s'intéresser au racisme ni de chercher à comprendre le message de l'auteur. Ca reste un petit roman plutôt sympa à lire au niveau de l'écriture et qui se finit rapidement. Pour ne pas rester sur un avis négatif, je lirai encore d'autres bouquins de Moka.

Résumé :
Horizons lointains. Horizons perdus. La littérature se nourrit de voyages. Ou d'espoirs de voyages. Voyages dans le passé, dans le futur. Voyages autour de sa chambre, de ses rêves, de ses chimères. On est de son enfance comme on est d'un pays, disait Saint-Exupéry. Et ce sont toutes ces imprégnations de jeunesse qui m'ont donné envie de reparcourir les itinéraires de ces écrivains. Ils ont voulu sortir des sentiers battus plutôt que rester collés à la glaise de leur terre natale. Ils ont eu le courage de se creuser d'autres sillons, d'autres veines qui s'écoulent vers la mer nourricière, celle de tous les refuges, de toutes les fuites, de tous les rêves.
De Chateaubriand à Stendhal, de Conrad à Hemingway, de Duras à Kessel, Patrick Poivre d'Arvor nous emmène, sous la forme d'une promenade subjective, sur les traces des grands écrivains.


Critique :
Un bon livre qui retrace la vie d'écrivains célèbres. Je l'ai trouvé plutôt intéressant. On découvre pas mal de petites choses sur les auteurs : ce sont pleins de mini biographies en fait. Je le conseillerais qu'aux curieux qui aiment savoir. Si l'histoire des écrivains ne vous intéresse pas, alors ce livre ne vous est d'aucune utilité.

Résumé :
La dictature et les jeux : la Rome antique avait ses gladiateurs... Les Etats-Unis, en cette année 2025, ont le Libertel, arme suprême du nouveau pouvoir. Emission vedette de la chaîne unique : « La Grande Traque ». Et le peuple, les yeux rivés sur le petit écran, regarde la mort en direct.
Chômeur comme tant d'autres, Ben Richards s'est engagé dans la compétition. Commence alors le compte à rebours... Pendant trente jours, Ben devra fuir les tueurs lancés à ses trousses. Le jeu n'a pas de règles, tous les coups sont permis. La foule participe, dénonce, s'acharne : la prime est alléchante...
Hallucinante course contre la peur, la délation, la mort. D'autant plus terrifiante que la fiction d'aujourd'hui est peut-être l'histoire de demain...


Critique :
Une histoire digne d'un grand scénario ! Je n'ai pas vu le film mais s'il suit bien le fil du livre il doit être pas mal. Je m'attendais à d'autre chose en lisant cet auteur mais ce n'est pas pour ça que je suis déçue. Je relirai un bouquin de King avec plaisir. L'histoire est assez d'actualité. Dire qu'on est déjà en train de ridiculiser des gens en direct. Je crois que des émissions telles que le décrit King ne sont pas si surréalistes que cela.
Quand même, je dirais aux âmes sensibles de s'abstenir, j'ai trouvé que le dénouement était une véritable boucherie.


La phrase de la fin :
"Une pluie de feu s'abattit à des kilomètres à la ronde, illuminant la nuit comme la juste colère d'un dieu courroucé."

Résumé :
Savez-vous qui est le petit garçon le plus impertinent, le plus malin et le plus tendre aussi ? À l'école ou en famille, il a souvent de bonnes idées et cela ne lui réussit pas toujours. Vous l'avez tous reconnu. C'est le petit Nicolas évidemment !
La maîtresse est inquiète, le photographe s'éponge le front, le Bouillon devient tout rouge, les mamans ont mauvaise mine, quant à l'inspecteur, il est reparti aussi vite qu'il était venu. Pourtant, Geoffroy, Agnan, Eudes, Rufus, Clotaire, Maixent, Alceste, Joachim... et le petit Nicolas sont –presque– toujours sages...


Critique :
Enfin un livre qui nous fait réellement rire ! C'est juste excellent. Franchement c'est un dès livre que je trouve le plus drôle. Rien que le style d'écrire de Goscinny peut susciter le rire. Le bouquin est composé de pleins de petites histoires, ce qui est plutôt sympa quand on a pas trop le temps de lire ou d'autre chose à lire en même temps. Les dessins qui accompagnent les textes sont géniaux. Un classique à lire absolument !

124 pages