• Antoine de Saint-Exupéry, Le Petit Prince
    95 pages

    Résumé :
    Imaginez-vous perdu dans le désert, loin de tout lieu habité, et face à un petit garçon tout blond, surgi de nulle part. Si de surcroît ce petit garçon vous demande avec insistance de dessiner un mouton, vous voilà plus qu'étonné ! À partir de là, vous n'aurez plus qu'une seule interrogation : savoir d'où vient cet étrange petit bonhomme et connaître son histoire.


    Critique :
    Il fait parti des livres que l'on peut lire à tout âge et où à chaque fois on voit les choses différemment. Je l'avais déjà lu étant petite, et l'ayant relu aujourd'hui, j'ai compris un tas de choses qui ne m'était pas apparu alors. C'est super philosophique en fait. Ce n'est que des métaphores. Mais je dois encore faire parti des enfants parce que je trouve très important de savoir si oui ou non le mouton à mangé la fleur. Un superbe bouquin.


    La phrase de la fin :
    "Ne me laissez pas tellement triste : écrivez-moi vite qu'il est revenu..."

    B.

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  • Sempé, Marcellin Caillou
    125 pages

    Résumé :
    Le petit Marcellin Caillou aurait pu être un enfant très heureux comme beaucoup d'autres enfants. Malheureusement, il était affligé d'une maladie bizarre : il rougissait. Il rougissait pour un oui, pour un non. Heureusement, me direz-vous, Marcellin n'était pas le seul à rougir, tous les enfants rougissent. Ils rougissent quand ils sont intimidés ou qu'ils ont fait une bêtise. Mais, ce qui est troublant dans le cas de Marcellin, c'est qu'il rougissait sans aucune raison.


    Critique :
    Euh ... Bof, bof. Je m'attendais à beaucoup mieux de la part de Sempé. J'ai presque trouvé l'histoire ridicule. C'est mignon mais vraiment si on le dit vite. A la limite, pour les dessins ...


    La phrase de la fin :
    "Mais ils pouvaient aussi rester à ne rien faire, à parler ou sans rien dire car ils ne s'ennuyaient jamais ensemble."

    B.

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  • Sempé & Goscinny, Le petit Nicolas et ses voisins
    148 pages

    Résumé :
    D'après le papa de Nicolas, entre voisins, il faut s'entraider. C'est sans doute pour ça qu'il aime tant taquiner M. Blédurt, qui habite la maison d'à côté. Et ce n'est pas M. Courteplaque, le nouveau voisin, qui dira le contraire, surtout depuis que le papa de Nicolas l'a apprivoisé. M. Courteplaque, c'est le papa de Marie-Edwige, qui est une fille et qui est très chouette, comme voisine.


    Critique :
    Il m'a fait moins rire que Le petit Nicolas mais c'est quand même très drôle. J'avoue que c'est peut-être un peu lassant et répétitif. Mais j'aime bien quand même. Je vous les conseille.

    B.

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  • Sarah Dessen, Cette chanson-là...
    394 pages

    Résumé :
    Julie a toujours su quand prononcer le discours à un garçon pour le quitter : juste après l'émotion des premiers jours et avant que l'implication soit trop forte. Alors pourquoi ne parvient-elle pas à appliquer ses grands principes au beau Damien ? Il est brouillon, impulsif et, pire que tout musicien comme le père de Julie. Ce père qu'elle n'a jamais connu et qui lui a écrit une chanson célèbre avant de disparaître : " This Lullaby " qu'elle écoute quand elle a le c½ur serré. Julie serait-elle en train de découvrir ce dont parlent toutes les chansons d'amour ?


    Critique :
    Encore une fois j'ai beaucoup aimé l'écriture de Dessen. Le résumé parait toujours aussi enfantin alors que l'histoire est magnifique. Un hymne à l'amour ! J'arrive à me retrouvé un peu dans ses personnages. Ça aide à se remettre en question sur certains sujets. Ce qui me fascine c'est comment l'auteur arrive à rendre ses personnages aussi réalistes. J'ai souvent l'impression, quand je lis un livre, que ce que dit ou fait un héros est absurde, mais pas avec les livres de cette auteur. A lire.


    La phrase de la fin :
    "Elles suivaient le rythme de mon propre souffle et m'entraînèrent dans le sommeil."

    B.

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  • Pierre Bottero, Zouck
    153 pages

    Résumé :
    Anouck, dite Zouck, a une passion : la danse. Qu'elle partage avec sa meilleure amie, Maiwenn. Jusqu'au jour où elles s'éloignent l'une de l'autre. Zouck, obsédée par l'idée de perdre quelques kilos superflus, se coupe du monde. De son côté, Maiwenn, follement amoureuse, devient de plus en plus distante...


    Critique :
    J'aime toujours autant l'humour de Bottero ! Il est vraiment excellent. Son style d'écriture est très agréable à lire. Ce qui m'a gêné dans ce livre, c'est le sujet. La seule chose que me donne envie de faire ce livre après l'avoir lu, c'est de ne plus manger. J'ai pas trouvé qu'il amenait à réfléchir et à faire comprendre que l'anorexie était une mauvaise chose. Au contraire. Donc personnellement, je ne le recommanderai pas du tout aux personnes complexées par leurs poids.


    La phrase de la fin :
    "Gardez-vous des chemins sombres."

    B.

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