• Guido Van Genechten, Pourquoi ? Parce que je t'aime

     32 pages

    Résumé :
    Petit Ours blanc sait déjà beaucoup de choses, mais il est encore très jeune et a besoin de sa maman. Le petit lecteur découvre la vie de cette petite boule de poils avec les yeux, mais aussi avec les doigts : Petit Ours blanc est tout doux au toucher. Avec cet album, la banquise s’adoucit.


    Critique :
    C'est un album adorable. Le petit ours blanc est fait en une matière toute douce au toucher, un côté très ludique pour les enfants. L'histoire est également intéressante avec les interrogations du fils à sa mère, sur la banquise et les ours. Les dessins sont très mignons, très purs. Le titre est sympathique et l'auteur est également l'illustrateur.
    C'est donc un livre agréable à lire, à regarder et à toucher !

    Approuvé par les enfants !

    B.


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  • Amélie Nothomb, Attentat

    205 pages

    Résumé :
    La première fois que je me vis dans un miroir, je ris : je ne croyais pas que c'était moi. À présent, quand je regarde mon reflet, je ris : je sais que c'est moi. Et tant de hideur a quelque chose de drôle. Épiphane Otos serait-il condamné par sa laideur à vivre exclu de la société des hommes et interdit d'amour ? Devenu la star paradoxale d'une agence de top models, Épiphane sera tour à tour martyr et bourreau, ambassadeur de la monstruosité internationale et amoureux de la divine Éthel, une jeune comédienne émue par sa hideur. Sur un thème éternel, l'auteur d'Hygiène de l'assassin et des Catilinaires nous offre un conte cruel et drôle.


    Critique :
    On dirait qu'en ce moment, cela m'est difficile de lire un roman sans y faire référence à un autre ! J'ai tout de suite pensé à Lorsque j'étais une oeuvre d'art de Schmitt. J'ai totalement confondu les personnages principaux de ces oeuvres. Ils ont un physique plus qu'ingrat, le savent et jouent de leur laideur. Dans ce livre-ci, l'amour a une plus place beaucoup plus importante en revanche.
    L'histoire est assez cruelle, mais je n'ai jamais eu pitié de Épiphane. Il est très imbu de lui-même. C'est en fait le cas dans tout les romans de Nothomb que j'ai pu lire. C'est ce qui m'avait énervé lors de ses romans autobiographiques, mais ici ce trait de caractère fait parti du personnage. C'est à cause de cela qu'il va tomber amoureux d'Éthel, par envie de posséder ce qu'il y a de plus beau.
    C'est encore un livre qui me dérange. Je n'y échappe pas avec les romans de cette écrivain ! Mais je dois avouer que j'ai quand même beaucoup plus apprécier ma lecture cette fois-ci. Même si toute cette histoire a un aspect complétement absurde, elle soulève de bonnes questions sur la façon dont on voit les autres.


    La phrase de la fin :
    "Il n'y a pas d'amour impossible."

    B.


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  • Autriche

    46 pages

    Résumé :
    Les adeptes des bandelettes !
    Qu'il s'agisse d'une engelure, fracture, écorchure, égratignure, griffure, brûlure, foulure, morsure, éraflure, fêlure ou cassure, une chose est sûre : ces infirmières (blondinettes, brunettes) (ou rousses) sont toujours prêtes à soigner le squelette à grands coups de bandelettes. Et ça, c'est chouette !


    Critique :
    Je suis déçue par cette bande dessinée. Les personnages sont sympathiques, les dessins sont attrayants, certaines planches sont même marrantes, mais dans l'ensemble ce livre ne m'a pas emballé. Au bout du vingtième tome, une série commence souvent à s'essouffler. J'avais l'impression que c'était le cas ici. C'est dommage, pour une première approche j'aurais peut-être dû commencer par les premiers tomes.
    Cela dit j'essayerai d'en lire d'autres pour avoir une meilleure opinion ! Tant que les dessins ne sont pas désagréables, je suis preneuse.

    B.


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  • Autriche

    52 pages

    Résumé :
    En panne d'essence, nos amis ont atterri sur une île. Au bord de la plage, ils trouvent des fûts contenant ce précieux liquide. Les réservoirs à nouveaux pleins, ils s'envolent. Ils se trompent d'itinéraire, survolent le Pôle Sud. A nouveau plus d'essence. L'atterrissage se passe mal : l'hélice et le train d'atterrissage sont cassés. Recueillis par une famille d'esquimaux, rejoints par des membres d'une équipe scientifique, les réparations sont effectuées. Nouveau départ et atterrissage, bien plus tard en France, sur la plage de Digne-les-Bains. Mais les neveux de M. Pump sont sur place. Ils tentent de saboter l'appareil en y mettant le feu. Heureusement, le stratonef est sauvé. le jour du départ pour New-York, Legrand, père des enfants et constructeur et pilote de l'appareil, est retrouvé drogué ainsi que certains responsables du vol.
    Qu'à cela ne tienne, Jo, Zette et Jocko vont tenter de rejoindre New-York par eux-mêmes.
    Réussiront-ils le pari ? Les auteurs des sabotages seront-ils démasqués, et comment ?


    Critique :
    Ecrite par le créateur de Tintin, on retrouve le même style de dessin. J'ai cru plus d'une fois apercevoir Tintin dans les pages de cette bande dessinée. Cependant j'ai trouvé les dessins plus simple, encore plus en rondeur. Les détails sont assez rares. Les personnages portent toujours la même tenue, qu'il fasse chaud ou froid. Il y a beaucoup de petites choses surprenantes qui donne un côté invrainsemblable à l'histoire. On voit que celle-ci date et est un peu dépassée aujourd'hui. Pour autant j'ai bien apprécié cette lecture. J'adore Jocko, le singe, qui est mignon et attachant.
    Malgré ses petits défauts, c'est une série que je relirai avec plaisir.

    B.


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  • Autriche

    62 pages

    Résumé :
    Boule est un petit garçon facétieux qui vit entre sa mère exemplaire, son père "bricoleur" et gaffeur et Bill, le gentil cocker.
    Cette bande typiquement familiale a débuté dans les pages de SPIROU en 1959.


    Critique :
    Une bande dessinée incontournable qui n'a plus besoin d'être présenté. La particularité des premiers albums se sont les dessins un peu différents des derniers sortis. Mon commentaire va peut-être paraître bizarre mais je trouve que ça donne une touche rétro, qui n'est pas pour me déplaire. Chaque page correspond à une petite histoire. Comique dans la plupart du temps, l'auteur sait aussi mettre beaucoup d'humanité dans ses gags. L'idée de suivre les aventures d'une famille "tout le monde" ne peut que séduire les lecteurs. Je crois que ça va être difficile de trouver un non-adepte des bandes dessinées de Boule et Bill !

    B.


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